Instant Nostalgeek #4 : Morrowind - Cosmostreet - Geekabrak

Instant Nostalgeek #4 : Morrowind - Cosmostreet

Geekabrak SARL

Seuls certaines personnes savent, rien qu'à la lecture du titre de cet article, de quoi je parle...
Pour les autres, je vous explique rapidement : la banque Crédit Mutuel, afin de "récompenser" ses jeunes clients, offrait des magazines Cosmostreet, qui parlait d'actualités pour les enfants et ados, mais surtout, chaque magazine était accompagné d'un CD avec de la musique et un JEU COMPLET ! C'est d'ailleurs grâce à Cosmostreet que j'ai découvert l'exceptionnel morceau « Soldat de plomb » d'Abd-al Malik, mais ce n'est pas le sujet !


Grâce à Cosmostreet, j'ai pu faire mes premières parties de The Elder Scrolls III : Morrowind. Ce jeu est tout bonnement divin, et on me l'offrait sans que je fasse rien ? C'est encore mieux que cette histoire de jeu PC dans les Kellogg's !

J'ai du coup découvert Morrowind avant Daggerfall, mais franchement, avec le recul, je me dis que c'était quand même fou. Comme si maintenant, votre banque vous offrait Skyrim. Enfin bref !
Les graphismes pour l'époque était franchement agréable, même si le jeu n'était peut-être pas adapté à tous les âges, il faut être honnête. Tout comme les autres The Elder Scrolls, le jeu demandait un bon paquet d'heures pour être terminé, sans compter les quêtes annexes. Vous pouviez également créer votre personnage, en choisissant entre 10 races différentes :
- Brêton, Impérial, Nordique, Rougegarde pour les humains ;
- Altmer, Bosmer, Dunmar, Orsimer pour les elfes (à savoir que les elfes noirs sont originaire de Morrowind, si on rentre un peu plus dans le lore de The Elder Scrolls) ;
- Argonien, Khajiit pour les races bestiales.


À ça, vous pouviez choisir une des 21 classes disponibles, que je ne vais pas énuméré car ce serait trop long, mais il y avait par exemple acrobate, voleur, pèlerin, moine, mage, chevalier, et j'en passe !

Je me demande même si ce n'était pas mon premier RPG aussi libre dans la création de personnage... À savoir que j'avais 8 ans quand Morrowind est sorti.

Pour vous parler rapidement du scénario de Morrowind, il y avait une cinématique d'intro où nous, Nérévarine, apprenions de la part de la Princesse Daedra de l'Aube et du Crépuscule Azura, que nous étions libéré de la prison de la Cité Impériale pour être conduit jusqu'aux terres de Morrowind pour réaliser la prophétie de Nérévar, sans en expliquer plus au héros.

Mais tout ceci n'était qu'un rêve. Jiub, un Dunmer, vous réveille et vous demande votre nom. Et c'est à ce moment précis que la création de personnage démarre.


En grandissant, je suis resté dans l'univers The Elder Scrolls, en continuant avec Oblivion, et ensuite avec Skyrim. J'ai clairement passé mes meilleures heures sur Skyrim, il n'y a pas photo, mais j'ai préféré Morrowind à Oblivion ! J'ai redonné sa chance à Morrowind durant mon adolescence, alors qu'Oblivion était déjà sorti, et j'ai pu mieux apprécier le jeu. Certes, il avait vieilli graphiquement, mais il n'était pas non plus horrible. C'est comme si vous lancez Skyrim en graphismes Low en gros !

Si vous n'êtes pas trop regardant sur les graphismes, car on parle tout de même d'un jeu qui a bientôt 20 ans, je vous conseille fortement d'y jouer, c'est un must-have.

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